Abe Nicholls

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Abe Nicholls
Messages : 18
Inscription : 03 nov. 2022, 22:16
Célébrité et crédits : James Masters - Carminabox
Âge du personnage : 57 ans
Nationalité : Américaine
Situation familiale : Marié
Métier : Directeur d'une école d'art
Préférence sexuelle : Domination
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Maître(sse) de : Faith Wright
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Je n'ai ni les moyens, ni la capacité, ni la volonté d'avoir un(e) esclave
Abe Nicholls
47 ans
Américain
Hétérosexuel
Marié
Aisé
in Between
Arrogant
Contrôlant
Jaloux
Amoral
Patient
Passionné
Intelligent
Réaliste
Anecdotes
écrire une dizaine d'anecdotes. Les anecdotes sont des détails secondaires de l'histoire, permettant de mieux connaître le personnage. Ex: sa couleur préférée est le bleu
-| Il n'aime pas l'alcool, aussi, il n'en boit jamais quitte à paraitre impoli.

-| Son aliment préféré est le gingembre, qu'il déguste cru.

-| Ayant beaucopup de relations, c'est un homme qui sait toujours auprès de qui intercéder, pour aider un poulain ou une connaissance... ou lui pourrir la vie.

-| Il a récemment acheté une maison au bord de la mer dans le Maryland, où il ne va jamais que seul ou presque. Mais jamais en famille.

-| Il déteste qu'on lui refuse quoique ce soity et a tendance à en faire une affaire personnelle.

-| Il n'est pas rare qu'il prenne des poulains, généralement des jeunes femmes, sous une aile plus possessive que protectrice.

-| Il aime signer ces "oeuvres humaines" comme il les appelle.

-| Il a besoin de se sentir supérieur aux autres pour se sentir bien.

-| Il est las de sa femme, et commence à s'en ficher. A contrario, il est fou de ses trois enfants.

-| Il a tendance à se venger de son manque de reconnaissance artistique avec des critiques acerbes.
Histoire
écrire votre histoire sous formes de tiret. Cela vous permet d'énumérer différents évènements du passé de votre personnage nous permettant de mieux le connaître
Je n’ai jamais mené la grande vie. Et je n’ai jamais cherché à avoir la grande vie. Ou du moins, pas à l’époque. Fils d’un médecin et d’une infirmière, je n’ai jamais vraiment manqué de quoique ce soit. Oh, père n’était as du genre à faire des caisses de son argent, il donnait ce dont nous n’avions pas besoin selon lui, et cela me convenait parfaitement. J’avais une mère aimante, un père aimant quand il était là. Alors oui, bien sur, j’aurai pu dire que j’aurai aimé être davantage entouré par mon père, et accompagné, ; mais difficile de lui en vouloir. Quand je le voyais, il avait la mine hagard et l’air « épuisée. Petit, je ne comprenais pas. Plus grand, ce fut plus clair. Outre son cabinet, il travaillait dans un dispensaire pour les personne n’ayant pas les moyens de se soigner.
Attention, c’était louable, mais avec le recul… eh bien j’étais peut être un peu jaloux de ce manque d’attention.
La jalousie… est-ce que ça a guidé ma vie ? Un peu…

Je comblais mon temps libre avec le dessin et la peinture. Ma mère avait décidé que j’avais la fibre artistique, et du coup je l’acceptais et je respectais ça, je me plongeais là-dedans. Et c’était vrai que j’avais un peu de talent, je faisais de jolies illustrations. Peut être étais-je un peu trop bercé d’illusions par elle.. ; mais ce serait injuste de lui faire endosser la responsabilité de mes rêves irréalistes. Après j’étais doué et j’aimais bien, et père était trop dans l’admiration, quand nous nous voyions, pour la détromper. Après, si j’avais de bonnes notes, j’étais assez libre. Il ne tenait pas à ce que j’excelle dans toutes les matières, mais il voulait juste que je prenne le temps de réfléchir à mes options, et que je ne m’engage pas sur de mauvaises voies à cause de mauvaises raisons.
Cela ne m’empêcha pas de faire les beaux arts.
Et de me désillusionner.

Attention, j’étais bon, talentueux même, et je sortis avec les honneurs, mais déshonoré, je n’avais rien de prodigieux, et si les notes académiques excellaient, la partie artistique m’échappait… pourtant, je ne savais pas ce que j’aurai pu vouloir d’autre. J’avais tout ce que je demandais, pour le coup… je prenais de al distance, pour essayer de me trouver. Je voyageais. Pendant deux ans, je fis le tour de l’Amérique Latine, à la recherche de moi-même. Et rien ne venait. Rien ne se mettait en place comme il aurait fallu, et au retour, j’étais vidé comme quand j’étais parti. Alors je trouvais un travail, je faisais le guide dans une galerie d’art, parlant des œuvres, parlant de leur histoire, de leur impact, de leur sens, explicitant ce qui sautait aux yeux pour des imbéciles, me prouvant à moi-même que l’art n’aurait jamais du être offert à n’importe qui…

Le fait d’avoir un esprit affûté en matière d’art me donna petit à petit envie d’en dire plus, et je proposais des critiques d’expositions que j’allais voir. Une fut publiée, une autre, et ainsi de suite, j’ai fini par écrire pour un journal new yorkais, puis un autre plus important, et encore un autre plus important, et ainsi de suite. Presque quinze à ans à jouer les critiques d’art, une plume cinglante, où je cachais cette amertume de ne pas être comme eux, comme ces artistes, qu’il me manque ce qu’il fallait pour ne faire que le dixième de leur talent… au final, les expositions étaient rarement à la hauteur de ce que j’attendais, mais apparemment, on aimait que je déglingue à tout va dans mes écrits… et un jour, un de ces artistes me répondit.
Moi qui étais si critique, que pouvais-je présenter en retour ?

Le vide.
Le néant.

Et l’idée du siècle.
Je partais à la recherche d’« investisseurs, des collègues, des camarades de promotion, des amis, histoire de fonder une école qui suive nos critères. Les premières années ne furent pas fameuses, autant vous le dire. Âgé de 45 ans, j’avais pensé, à l’époque, fermer l’école. Cinq ans, peu d’inscrits...

Nouvelle idée du siècle. Deux en un siècle, oui, oui. Nous convainquîmes certains des gens de notre milieu d’y mettre certains de leurs enfants, sans forcément chercher le talent à tout prix. Nous avions besoin de rentabilité, et nous faisions des efforts pour eux, cela allait sans dire, mais il fallait que l’école fonctionne.
Toujours pas ou peu de succès.
Puis l’année suivant, nous eûmes une pépite parmi nos étudiants.
Puis deux l’année suivante.
Et le succès vint.

Aujourd’hui, j’ai 57 ans. L’école existe depuis 16 ans et aujourd’hui, nous en sommes à faire une sélection drastique dans nos choix d’étudiants. Principalement sur recommandation d’artistes reconnus, certes, mais pas que. L’école coûte à l’année selon les cursus choisis entre 12 et 15 milles dollars pour chaque étudiant, une somme pas très loin de la moyenne locale pour école privée, mais nous nous assurons d’un enseignement artistique de qualité, entre autres.

Beaucoup se demanderaient ce qu’il en était là-dedans de ma vie personnel, et je les comprendrai. Parce que c’est peut-être pas ce que je montre le plus. Et pourtant…

J’avais trente-deux ans lorsque j’ai rencontré Liz, une jeune femme, peintre de talent, j’ai immédiatement aimé et détesté son talent inné, et elle m’aima aussitôt. La trentaine, elle était jolie, pas belle, mais jolie. Nous nous fréquentâmes, elle s’accrocha à moi comme un mentor, un tuteur. Elle était tellement avide de me plaire, et j’aimais tellement cette admiration de sa part que je la laissais m’approcher, ; et que je me laissais aimer.

L’année suivante nous nous mariions, l’année d’après naissait Ethan, lumière de ma vie. Et son plus beau jour. Deux ans après vint Violet une deuxième lumière, suivie de Emma et du petit dernier Josh. Je n’ai jamais été aussi heureux qu’entouré de mes enfants.
Quelle belle famille cela fait, n’est-ce pas ?

Je ne vous ai pas dit ce que Liz devenait ? Eh bien… c’est Liz. J’ai détesté son talent autant que je l’ai aimé, et peu à peu, elle s’en est détachée, de toute fa_oinb, elle avait quatre enfants à s’occuper, donc forcément ; et maintenant elle est…
pff…
vide ?
Éteinte ?
Un peu. Mais elle ne me plaît plus. Que je la trompe était une conséquence logique. Pour vous dire, cela fait presque un an que nous faisons, si ce n’est chambre séparée, au moins lits séparés. Oh nous sommes cordiaux, et donnons l’impression d’un heureux couple, mais c’est bien tout.
En somme je suis las d’elle. Nous nous séparerons peut être quand tous les enfants auront quitté le nid…

Il y a une dernière chose à vous raconter. Dans le monde de l’art, il y a ceux qui revendiquent et ceux qui se taisent, ceux qui font dans l’anonymat le plus complet. La raison m’échappe complètement. Pourquoi produire aux yeux de tous si on ne cherche pas à se faire connaître ? Une véritable énigme pour moi.

Où est-ce que je veux en venir ?

L’autre jour, il y a quoi… trois semaines ? Je l’ai attrapée. Une jeune femme, connue sur les réseaux sociaux pour son travail artistique prolifique à base de bombe de peinture sur des murs… du travail de goût et de talent, clairement. Mais voilà, ce jour là, je rentrais tard… j’ai vu un streetartist en travail de travailler et curieux, je me suis approché. Le style ne trompait pas. Et curieux, je l’ai attrapée et démasquée. Une belle jeune femme aux yeux noisettes qui reflétaient toutes sa passion, des lèvres pleines, une vraie merveille….
Tout partit de là…. La coinçant j’attrapais une preuve de son identité, une photo de son visage contre son œuvre, d’autres détails…
Et je lui extorquais une rencontre quelques jours après.
Pour monnayer mon silence.
Je détestais aimer son art. Et je la voulais pour moi. Elle ne refusa pas, elle ne me refusa rien. Mon silence contre elle, tout simplement. Une deuxième fois nous nous revîmes, son paiement, elle, contre mon silence, poussant un peu plus.
Et bientôt la troisième.
Pourtant, il manque quelque chose…. Cette manie de donner l’impression de s’en foutre… je la déteste, d’autant que je le vois bien, sa colère quand elle accepte de me regarder dan,s les yeux. Cette femme parle avec les yeux presque plus qu’avec sa bouche. Et la voir juste chercher à s’en foutre m’agace, m’exaspère et me frustre… elle me donne l’impression de ne pas la posséder. Elle me donne l’impression de ne pas être mienne.
Peut être faudrait-il que je monte d’un cran jusqu’à la voir s’exprimer vraiment ?
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