River Hill

[River Hill]

Message par River Hill » 04 nov. 2022, 21:48

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Je n'ai ni les moyens, ni la capacité, ni la volonté d'avoir un(e) esclave

RRiver Hill

31 ans

Américain

Bisexuel

Célibataire

Aisé

clueless

Ouvert

Compétiteur

Créatif

Sévère

Patient

Contrôlant

Sportif

Débauché

Anecdotes

écrire une dizaine d'anecdotes. Les anecdotes sont des détails secondaires de l'histoire, permettant de mieux connaître le personnage. Ex: sa couleur préférée est le bleu

#01 – Je fais principalement du sport pour me détendre, usuellement du vélo mlais je ne suis pas sectaire.

#02 – Je n’aime pas beaucoup mon prénom, mais il me sert bien aujourd’hui : avec un prénom aussi hippie que mes mamans est un avantage certain en tant que coach de vie/bien être. Les gens y voient une certaine crédibilité.

#03 – J’ai du mal à croire que l’on aime qu’une seule personne. On m’a toujours appris que l’amour n’exclut rien ni personne. Et si je n’irai pas jusque là, j’admets qu’être amoureux d’une personne unique et exclusivement me semble très stupide.

#04 – Parfois la meilleure chose à faire est de lâcher prise, c’est pour ça que je pratique la méditation plusieurs heures par semaine, pour me vider, pour laisser sortir les mauvaises énergies et rééquilibrer les bonnes.

#05 – Je suis maitre de reiki

#06 – Contrairement à ce que l’on pourrait croire j’ai un diplôme universitaire en psychologie et de solides connaissances en sociologie

#07 – Je n’éprouve pas d’attrait pour le matériel, aussi, je me fiche d’avoir un compte en banque fourni, ou une belle maison. Généralement d’ailleurs je loge dans une chambre chez les gens que j’aide.

#08 – Je suis accroc au thé matcha et aux galettes de riz.

#09 – Je joue assez bien de la guitare, je l’ai appris petit avec des voyageur de passage dans notre communauté. Pour autant je n’aime pas les chansons, je préfère la musique seule.

#10 – Je ne vais jamais au cinéma et je regarde très rarement la télé, n’ayant d’attrait ni pour l’un ni pour l’autre.

Histoire

écrire votre histoire sous formes de tiret. Cela vous permet d'énumérer différents évènements du passé de votre personnage nous permettant de mieux le connaître

Vous connaissez l’initiative de La Ferme, dans le Tennessee ? Eh bien, c’est là que je suis né, dans une communauté hippie, oui, tout à faire. Maman avait accouché dans la rivière, voulant que je fasse corps avec la nature, et mon autre maman était à l’aider. Elles choisirent ensemble le nom de River, comme pour me lier à l’endroit où j’étais né. Nous vivions en communauté, un peu retiré du monde, maman travaillait au jardin servant à notre autosuffisance et mama, plus douée avec les chiffres, aidait monsieur Gaskin pour tenir les comptes de ce qu’on faisait. Déjà enfant j’aidais maman quand je n’avais pas école. Enfin, école, nous avions des leçons données par des membres de la communauté. Le reste du temps, nous aidions, les enfants, avec de menues tâches. Attention, on ne parle pas d’une sordide histoire de travail d’enfants, non, juste que c’était quelqu’un chose qui nous permettait de nos occuper, outre les bêtises habituelles que peuvent faire les gamins. Enfin, les gamins. Nous étions douze. En même temps, la communauté n’était pas énorme non plus. Nous étions à peine deux cent…

Les années passèrent et on se rendit bien vite compte que j’étais loin d’être stupide. Bien au contraire. Pas une tête mais pas loin. Tout le monde se disait que je pourrais aider comme maman, ou en me retrouvant dans l’entourage proche des dirigeants de la Ferme. Et soyons clairs : si je ne reniais rien de ce que j’apprenais sur place… cela ne me suffisait pas. J’avais besoin de plus. Je réclamais plus. Plus de savoirs et plus de connaissance. Oh, j’apprenais beaucoup de choses et j’aimais beaucoup de choses ici, ce sens de la communauté, ce sens du partage et du plaisir de vivre ensemble…
On en attendait beaucoup de moi, et ce ne fut pas si surprenant que ça que je puisse aller faire mes études à Columbia, avec de l’argent mis de côté par la communauté.

Mes études furent une véritable réussite, clairement et en même temps, me plongèrent dans une profonde réflexion quant à mon mode de vie précédent. D’un seul coup je nous trouvait… un peu hypocrite… alors oui, d’accord, nous vivions plus sainement et nous aidions en Amérique latine avec l’association Plenty, mais je me sentais un peu… un peu comme si on m’ouvrait les yeux… c’était comme un désaveu, non des valeurs mais du fonctionnement. Les valeurs étaient belles et je ne comptais pas m’en départir comme ça, toutefois, je reconnaissais que je n’avais plus envie d’y retourner… en fait je me prenais de passion pour mes études, pour mes semblables, et à mes études de psychologie j’adjoignais des études de sociologie en auditeur libre. De quoi me faire rêver niveau études. Mais quoi en faire ? Je ne savais pas trop. J’avais 25 ans, un doctorat en poche, doctorat que j’estimais valant bien peu dans la mesure où être psy ne me plaisait pas beaucoup, et pour comprendre ce que je voulais faire de ma vie, je faisais une retraite, j’allais travailler six mois pour Plenty, en Amérique latine. Je n’eus pas de révélation, mais je passais des degrés de reiki pendant ce laps de temps.
Tout ce que je compris, c’était que ce serait tourné vers les autres.

Comment en vins-je à être coach de vie ? Eh bien c’était il y a quatre ans. En fait, c’était l’ami d’une amie. Elle m’avait demandé d’essayer de le veiller sur lui avec sa manière un peu méprisante de le dire « tu as vécu en communauté, tu sauras bien ce qu’il faut faire »… j’avais hésité, maaaaiiis c’était dans une maison de plage… ça a été le choc, on voyait le mec sur des couvertures de magazines… le principe était simple, l’aider à éviter de retomber dans la picole à laquelle il était accroc. Ça a été dur, je ne vais pas le nier… mais on y est arrivé. Il s’est révélé gentil, aimable, on parla beaucoup. Longtemps. J’en appris beaucoup sur lui et ses soucis, et nous continuâmes à nous voir régulièrement. Je tachais de l’aider. Et de là est venu le bouche à oreille. Et ça a a continué. Je rencontrais un autre ami à lui, me faisais payer cette fois. J’en ai connu des stars à problème. Le principe était simple : je ne faisais pas le psy, je me présentais au quotidien et j’essayais d’éviter de merder, avec du renforcement positif, du renforcement négatif, ou même d’autres méthodes. Généralement, ce n’étaient pas les stars en elle-même, mais mes agents qui me contactaient pour ça. En somme, contractuellement, les agences m’imposaient à leurs clients pour éviter des ruptures de contrat et je devais jouer les « pions » les aider à se débarrasser de sales habitudes, ou à se reprendre ne main. Un travail compliqué, qui demandait parfois de « punir » et de sévir, mais bon…
ça c’était enrichissant !

Et voilà, coach de vie pour les stars…. Et là je vais attaquer mon nouveau contrat. Encore une fille de star, star elle-même, à problèmes… mais bon, il lui fallait juste le bon coup de main !

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