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Petites indécences entre amis est une création originale d' Anton Nielsen et Jayden Arshmoore.

Le design, le contexte, et l'intégralité du forum est de leur fait.

Elisa Calhoun | en attente d'approbation

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Je n'ai ni les moyens, ni la capacité et encore moins la volonté d'avoir un esclave
Elisa Calhoun
32 ans
Américaine
Hétérosexuelle
Célibataire
Moyen
Clueless
Respectueuse
Opiniatre
Directe
Méfiante
Gourmande
Perturbée
Pragmatique
TOC
Anecdotes
  • Je ne mesure pas plus de 1 m 61, chaussettes comprises.
  • J’aime les vêtements et le style des années 50. Je pourrais presque me ruiner financièrement pour un coup de cœur.
  • Je suis trilingue, Je parle l’italien en plus de mes deux langues maternelles.
  • Je ne supporte pas la lumière froide des néons, cela me met mal à l’aise. Seuls les intérieurs aux éclairages tamisés me conviennent.
  • Je chante, beaucoup, souvent, tout le temps. Non, non, jamais trop.
  • J’ai un tatouage à l’intérieur de la cuisse gauche. À l’origine, il s’agissait d’un J tout en arabesque à présent perdu dans le plumage d’un Phoenix.
  • Je tiens un journal intime à effet cathartique. En revanche, je n'aime pas le relire car je ne suis pas prête à admettre certaines des choses que je lui confie.
  • J'aime avoir des petits rituels qui me tranquillisent
  • Je suis très sensible aux odeurs. J’ai en permanence dans mon sac, un petit flacon contenant le parfum que ma mère portait quand j’étais enfant.
  • Je ne suis sur aucun réseau social et ne possède qu'une adresse électronique plutôt anonyme. Je signe mes articles par le prénom inspiré de l'envie du jour mais que je ponctue toujours d’un petit papillon.
  • Je n’ai ni musique, ni couleur préférée. Tout est une question d'humeur.
  • Je me damnerais littéralement pour du caramel au beurre salé.
Histoire
  • Il y a 32 ans, un 5 janvier, la Géorgie et, plus particulièrement, la ville de Savannah, connut deux calamités : d’immenses trombes d'eau qui se sont déversées sans relâche, en faisant déborder les cours d'eau et en charriant boue, bois et branches à travers les rues en saccageant tout, et moi.
    Moi, Elisa Marie, qui suis née quasiment dans la gadoue, et qui peux témoigner que cela ne porte pas spécialement bonheur.
  • Mon père, Georges Calhoun, était directeur commercial international pour une grosse entreprise de produits de luxe, ce qui occupait les trois-quarts de son temps. Le dernier quart, il le passait avec sa famille ou en grimpant, plutôt plus que moins, sur tout ce qui frétillait en portant jupon.
    Autant dire que je n'ai pas beaucoup vu daddy durant ma jeunesse.
    Ma mère, quant à elle, a été un souvenir parisien directement ramené de France au retour de l'un de ses nombreux voyages d'affaire, la touche de bourgeoisie française qui manquait à sa belle maison de famille de Wilmington Island. Nathalie s'y est beaucoup plu et, en conséquence, a supporté les frasques de son époux avec résignation et sourire.
    Jusqu’à mon adolescence, elle a été une vraie mère poule. Puis, jugeant qu’il fallait me lâcher la grappe, elle s’est mise à fréquenter davantage l’association dont elle faisait partie, qui promouvait le patrimoine culturel et historique français de la région. Elle y donnait déjà des cours de langue, mais préparait désormais les réunions, des ateliers de généalogie, les fêtes et ce qui permettait de récolter de l’argent pour faire tout cela. Elle était tellement impliquée, que le président de l’association la sollicitait souvent et venait la chercher – en particulier les soirs où mon père était absent, ce qui était facile – parce "qu'il y avait toujours beaucoup à faire et qu’en plus, cela lui changeait les idées". En effet, Il y avait tellement à faire que cela pouvait commencer dès la voiture, juste devant la maison, comme j’ai pu le voir une fois. Ce qui m'a fait comprendre qu'un cours de langue pouvait se donner de plusieurs façons.
  • À 18 ans, j'étais heureuse de partir pour l’université et soulagée de laisser une maison, certes belle, mais assez vide. J'avais été admise au SCAD en préférant toutefois le campus d’Atlanta pour m’éloigner un peu. Je voulais devenir journaliste ou critique d’art, c’était le bon endroit.
    C'est là que quelques jours après mon arrivée, j'ai revu Justin. Un garçon, un an plus âgé, qui vivait en face de chez nous avec sa mère lorsque j’étais enfant. Ils avaient déménagé des années auparavant, quand celle-ci s’était remariée. Lui, étudiait la photographie et l'audiovisuel.
    Entre nous, l'attraction a été aussi immédiate qu’évidente et sans échappatoire possible. Et avec le recul, j’ajouterais fatidique. Pourtant durant deux ans, même particulièrement inséparables, nous n’avons été que les meilleurs amis du monde, avant de devenir des amants obsessivement fusionnels.
    Toujours avec ce fichu recul, je me dis que j'aurais dû trouver étrange que malgré ce désir palpable, notre connivence, nos familiarités – sans compter que nous n’avions aucune relation amoureuse par ailleurs – il se retenait de franchir le pas.
    C'est moi qui ai fait le premier, un jour où je devais être particulièrement inspirée, en l'embrassant par surprise. Il a été réticent, je l’ai bien senti, mais si brièvement que ça n’a pas compté. À partir de là – à croire qu’il avait eu une révélation – la retenue, il n’a plus jamais su ce que c’était.
    Pour lui, nous n'étions jamais assez proches, assez intimes, assez l'un à l'autre, est-ce pour cela que notre entente physique était si intensément parfaite ? Le penser à présent, me dérange beaucoup. Mais à l'époque... j'étais sur un nuage, toutes mes copines m'enviaient le petit ami parfait. Parce que, de fait, il l'était. Enfin sauf Judy, du cours de graphisme, qui m'avait dit tout net : "Ton copain est taré."
    Jusqu'à la fin de nos études, nous avons évolué dans une bulle où il n'y avait que nous, et où seule la satisfaction de l'un par l'autre comptait. Nous étions notre mutuelle addiction et l'on baignait dans une constante euphorie que l'on prenait pour du bonheur. C'était trop, beaucoup trop, pour être sain.
    Mais en l’occurrence, rien n’a jamais était sain.
  • Tout conte de fée – même anormal – a une fin, qui n'est pas forcément celle de se marier et de vivre heureux.
    Non, parce que dans celui-ci, tout était mal barré dès le départ, et même la plus consciencieuse des bonnes fées n'aurait rien pu arranger.
    Dans celui-ci, un vilain magicien avait maudit notre couple avant même qu'il existe. Un magicien qui n’avait jamais su garder sa baguette magique en place et qui répandait à l'envi sa poussière d’étoiles sans penser aux conséquences.
    Vous vous souvenez de Georges Calhoun, mon séducteur de papa ? Imaginez-le dans le rôle du magicien libidineux puis, ajoutez la mère de Justin dans celui du frétillant jupon... Voilà.
    Est-ce que vous devinez le conte qui se profile ?

    Il était une fois une petite secrétaire intérimaire engagée quelques temps dans une grande entreprise de produits de luxe. Là, elle y côtoya un séduisant monsieur marié plein d’attentions et aux belles manières qui la noyait de gentillesse et qui parfois l’emmenait déjeuner ou encore en balade. Un jour, après une énième visite toujours très attentive du local à photocopieuse, un miracle se produisit. Un enfant allait naître. Alors, parce qu’il était avant tout un gentleman, il s’occupa d’elle et du bébé, quand celui-ci arriva. Non, il ne lui donna pas son nom et non, il ne quitta pas son épouse car elle était trop parfaite pour lui et que, un miracle n’arrivant jamais seul, elle lui avait appris qu’il allait être papa ! Encore…

    C’est l’interprétation que je fais, durant mes bons jours, de ce que mon père a été forcé de me raconter. Autant dire que j’en ai d’autres, des interprétations…
    Plus tard, il a installé sa deuxième famille dans la maison en face de la nôtre. Ce qui lui permis durant plusieurs années de passer d'un foyer à l'autre sans jamais se faire prendre par ma mère… Je reconnais bien là le pragmatisme paternel dont j’ai hérité.
  • Donc, ma bulle explosa un mois à peine après mon retour à la maison. Notez que cela aurait pu se produire lors de la remise des diplômes si le destin ne s’en était pas mêlé. Mais une fracture du tibia, une forte allergie au homard ainsi que l’annulation d’un vol intérieur ont fait qu’aucun de nos parents n’était présent.
    Si les miens savaient que je sortait avec quelqu'un, je n’avais jamais voulu trop m’épancher. J’en disais toujours le moins possible. Je sentais Justin réticent à l’idée de venir à la maison lorsque nous étions en vacances et moi-même n’avais jamais vraiment eu envie de voir sa mère. Nous nous suffisions amplement à nous-même.
    Mais à présent c’était différent, je voulais officialiser, l’inviter et le leur présenter. Pour moi, c’était la suite logique, puisqu’il était évident que nous ferions notre vie ensemble.
    Je racontais tout ou presque à ma mère qui, heureuse, en fit part à mon père, terrassé. Et… BOUM ! Tout un monde s’effondra.
    Je ne sais pas ce qui a été le pire : Découvrir que j'avais un demi-frère et que j'en étais amoureuse, prendre la mesure de l’indécence particulière de nos rapports, me rendre compte que je venais de le perdre à tout jamais ou alors comprendre que durant toutes ces années, lui savait pertinemment qui j’étais.
    Tout était d'une violence terrible. Tout me donnait envie de vomir.
    Pendant des semaines je n'ai plus voulu voir personne et surtout pas Justin, qui m'appelait inlassablement tous les jours. Je ne mangeais plus, j'étais d'une maigreur à faire peur, malade physiquement et mentalement. J'oscillais entre le manque, le dégoût et l'envie.
    C'est là que ce sont développés mes troubles compulsifs : être propre, mettre de l’ordre, classer, ranger…
    Il a fallu m’emmener en maison de repos pour me retaper, me surveiller – ma mère avait peur que je fasse une bêtise – et être suivie par un psychologue. Ça a duré des mois.
    Au bout du compte, j'ai fini par retrouver mes esprits avant d’arriver à la conclusion que je devais quitter Savannah.
  • Ce que j’ai fait quelques semaines plus tard. Je venais d’avoir 23 ans.
    Avec ma valise et un compte en banque bien rempli des remords de mon père, j’ai pris ma voiture pour Raleigh. Pourquoi la Caroline du nord ? Sans autre raison que celle de « monter » pour m’éloigner du sud et parce qu’une amie du collège pouvait m’héberger le temps de m’installer.
    Là, ma mère est repartie pour une durée indéterminée à Paris, après une série de disputes effroyables avec son mari. Il était impossible qu’elle lui pardonne l’état dans lequel je me suis retrouvée par, ce qu’elle considère être, sa faute. Entre lui et moi, aussi, tout était devenu compliqué, irrespirable. Je ne parvenais plus à soutenir son regard et je crois bien que lui non plus. À sa décharge, il ne savait pas que son fils étudiait au SCAD, pour je ne sais quelle raison, il avait eu bien peu de nouvelles depuis son départ et le mariage de sa mère. A-t-il cherché à le contacter, le voir, lui casser sa belle gueule après ça ? Je n’ai pas demandé.
    Quant à Justin… j'avais trop revécu en boucle notre relation et trop réinterprété les choses durant ma maladie, la simple évocation de son nom me donner désormais des sueurs. Lui en revanche n’avait pas cessé ses appels, du moins jusqu’à ce que je change de numéro, et je suis même sûre de l’avoir vu près de la maison de mes parents plusieurs fois.
    Une fois à Raleigh, j’ai rapidement trouvé une place de serveuse dans un pub irlandais génial, le "O'Sullivan's Pub" car il n’était pas question de piocher dans mon pécule si je pouvais l’éviter. Le temps passait. Bières et musiques m’aidaient à décompresser, des amis à remonter la pente et des hommes à me changer gentiment les idées. J’avais quitté l’appartement où l’on m’hébergeait pour un studio sympathique et je commençais à être à l’aise là où j’étais.
    Jusqu’au soir où j’ai failli rendre tripes et boyaux en voyant Justin là, sur mon lieu de travail.
    Je n’aime pas repenser à cette rencontre alors je dirais simplement que Judy avait raison. Notre entrevue est consignée dans mon journal où, disons, je m’en suis déchargée. Quoi qu’il se soit passé, j’ai quitté Raleigh le lendemain à l’aurore, dix mois après mon arrivée.
    C’est là que j’ai réellement coupé les ponts avec tout le monde. Seule ma mère continue à avoir de mes nouvelles et j’ai tout intérêt à lui en donner si je ne veux pas qu’elle lance la police à ma recherche. Je sais qu’elle tient mon père informé. Elle m’a proposé de la rejoindre en France, mais je garde cette option comme ultime recours s’il m’en faut un.
    Rester plus de six mois au même endroit était devenu compliqué. Arrivait immanquablement le moment où je sentais qu’il était là, qu’il m’observait, caché dans un coin. Vérité ou crise de parano, par prudence il était préférable de changer de ville régulièrement.
    Et voilà qu'au bout d'une dizaine de déménagements, il y a trois ans, je suis finalement arrivée à New York.
  • Peut-être est-ce à cause de la foule, de sa taille, de l’atmosphère qui y règne ou parce que tout est peut-être terminé, mais jamais je ne me suis sentie épiée depuis que je suis là. J’ai presque l’impression d’être en sécurité… presque. C’est ce qui explique que je n’ai pas encore fui.
    Après tout ce temps, est-ce que Justin me cherche encore ? Non, il est certainement passé à autre chose et même marié, qui sait. Il faut l’espérer…
    Depuis l’année dernière, je travaille à mi-temps dans une librairie d’East village, "The Hidden Tome", à quelques rues de mon petit appartement. Nous sommes spécialisés dans les livres anciens ou rares mais nous vendons un peu de tout. Certains sont même assez particuliers et le plus souvent sur commande spéciale. C'est Erick, mon patron, qui s'en charge. Cet homme me couve comme si j’étais la chose la plus délicate et merveilleuse du monde. Je ne dis pas que je ne suis pas flattée ou que je n’ai pas envie de lui montrer à quel point je peux l’être, car il est très séduisant, mais bon… il a presque l’âge d'être mon père, même si ce n’est vraiment pas un frein en soi, et c'est surtout mon boss… Comme j’aime mon boulot, cette boutique, pour une fois je vais éviter de toucher. Ce qui, quand on y pense, est dommage car vu son année de naissance, il y a très peu de chance qu’il soit un autre rejeton de papa Georges.
    Oui, j’essaie d’en plaisanter maintenant, mais c’est bien mon seul progrès.
    À part ça, j'écris aussi des articles pour un site d’informations spécialisées dans l'art et les artistes underground. Je me permets également de critiquer les petites expos auxquelles j'assiste, pas très connues en général. Mon style incisif plait et j’en suis heureuse.
    Ah ! et j'ai toujours un psy... mais au final, même si je ne suis pas encore guérie, pas encore "accomplie" et que je pourrais difficilement me lier à qui que ce soit, je suis peut-être arrivée là où je devais être, ce qui est un bon début.
Derniers mots
Pseudo: Mallory
Âge: De la raison et quelques poussières.
Où nous avez-vous connu?: Via un lien partenaire
J'ai pris un prélien: Non
En postant ma fiche, je soussignée CALHOUN ELISA déclare avoir pris connaissance du règlement et en reconnais la valeur réglementaire sur le forum
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[pia]Christina Hendricks[/pia] -- Elisa Calhoun
Métiers

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[pia]Vendeuse dans une librairie de livres rares et anciens/journaliste freelance dans le monde des Arts[/pia] -- Elisa Calhoun
Lieu de résidence

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Un studio dans un immeuble ancien de Lower East Side
[sstitre]Elisa Calhoun[/sstitre] 
Un 30m² lumineux et un peu vétuste, constitué d’une salle de bains et d'une grande pièce qui sert à la fois de chambre et de salon. Plafond haut et parquet. Le studio est parfaitement propre et rangé.
Je cherche
Indiquer ici si vous rechercher un lien BDSM particulier

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[tr][td]Nom du personnage[/td][td]Role recherché[/td][td]Genre[/td][/tr]
Dernière modification par Elisa Calhoun le 20 janv. 2025, 16:26, modifié 7 fois.
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Bienvenue sur le forum, si tu as besoin, n'hésites pas le staff est à ta dispo
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Hello!

Bienvenue.

Si tu as des questions n'hésite pas, le staff est là pour ça.
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Bonjour à vous, et merci pour cet accueil.

Je pense poster ma fiche terminée dans le cours de la journée après peaufinage.
J'ai relevé deux ou trois choses à modifier ou encore à ajouter. La voir "in situ" permet d'avoir une autre perspective et c'est bien.
Effectivement, j'aurais certainement des questions à partir du moment où je serais réellement arrivée en ville. Notamment sur le meilleur moyen de/endroit où placer ma créature sur le plateau de jeu pour démarrer afin qu'elle ne reste pas isolée trop longtemps. Puis plein d'autres trucs, mais comme je disais : après :)
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Quand tu auras fini ta fiche, il suffira de la signaler comme finie dans le sujet approprié. Pour le reste ma boîte mps tes ouverte si tu souhaites qu'on en discute pour t'aider. ;)
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Bonjour,

Je suis ici pour me charger de ta fiche au nom du staff :
- TOC n’est pas un trait de caractère
- J’ai du mal à imaginer la crédibilité d’une critiquez qui change de pseudonyme selon les envies du moment. Ce serait son blog, je verrais la logique, mais si c’est pour un site d’info, avec nombre de pigistes, j’ai plus de mal.
- J’ai du mal à trouver l’histoire avec Justin cohérente. Ils ne se cachaient pas, et je doute que le père Latrique se planque pour rentrer chez lui, donc pour que jamais la mère de Justin ne voit le père, n’arrête le fils, ou rien, ça me semble un peu abusé… et ça rend la conduite de Justin envers sa sœur – parce qu’il sait que c’est sa sœur – encore plus chelou, non ? Et quelle est la chance pour que les deux femmes ne voient pas l’une avec l’homme de leur vie durant toutes ces années ? C’eut été dans deux villes voisines, pourquoi pas, mais là, en face quoi…

Voili voilou, quand ce sera fait signale à la suite de ce message et je repasserai ! ;)

Si tu as besoin d’aide, n’hésite pas, ma boite à Mp est toujours ouverte ! ;)

EDIT : Ah et la régie me fait remarquer que l'avatar risque de te limiter pas mal si tu gardes cette combinaison avatar/age. Et ma patronne - qui est graphiste attitrée du forum accessoirement, entre autre, et la personne qui me met des claques derrière l'"oreille quand je dis des conneries - préfère que tu sois prévenue que ta capacité à changer d'image va être des plus délicats. ce n'est nullement un frein à une validation ou quoique ce soit, c'est juste une note de préoccupation bienveillante de la part du staff! ;)
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