- - A un enfant dont elle n'a pas la garde, par choix, elle n'en désirait pas de base
- -Ne sait pas nager
- -Fétiche de Latex
- -Aime choisir la taille et la forme de l'épilation pubienne de ses soumis(e)s.
- -Est plus à l'aise en talon que des chaussures plates, elle n'en a pas d'ailleurs, minimum 7 cm pour faire son bonheur
- - Si elle ne désirait pas sa fille, elle s'en occupe un mois complet durant les grandes vacances et l'appelle régulièrement sans manquer aucun coup de fil
- -Ne digère pas et déteste la banane.
- Collectionne les clichés érotiques
- Continue de soumettre par téléphone son ex-mari
- Fille unique, son père est photographe d’art, sa mère la boulangère du coin. Elle n’a jamais saisis ce que son père a pu lui trouver. Cette femme ne cessa jamais de soupirer de sa vie rangée : elle pensait qu’épouser un artiste lui ferait avoir une vie d’artiste, mais ce fut l’inverse. Et elle quitta la maison quand Griselda eut dix ans, se libérant du fardeau infantile et marital.
-Studieuse, Griselda est remarquable mais têtue, toujours à se lancer des défis, pour être meilleure ou se dépasser, elle s’enlise dans la normalité et sature seule, alors que son père lui enseigne l’art et ne cesse de l’encourager à ne pas non plus se ruiner la santé dans ses buts.
-L’entrée en fac est prometteuse mais elle ne sait pas où aller, plusieurs universités lui ont dit oui, pour des cursus classiques, elle hésite. Son père l’a même inscrit dans une école d’art pour la photographie, elle se demande pourquoi. Si elle sait y faire, cela lui parait étrange. Elle réalise pourtant que l’école lui fait de l’œil et que son passetemps la branche sincèrement.
-Epanouie dans ses études, elle va toutefois rater sa dernière année : sa mère la recontacte. Pas pour rien. Sa seconde fille est malade, il lui faut un don de moëlle osseuse. Griselda accepte. Si elle peut sauver cette gosse, elle le fera. Sa mère la remercie, elle lui exige une seule chose : ne jamais la recontacter par la suite. Elles ne se reverront plus jamais.
- Griselda peine à se remettre de ce passage qui l’a plus affecté qu’elle ne le pensait. Ayant déjà une sexualité assumée depuis ses seize ans, s’orientant vers des pratiques BDSM s’inspirant de ses photographies préférés de la collection paternelle, elle se penche sur le sujet durant une année entière pour se vider l’esprit et se recentrer. Le contrôle lui fait du bien, ses débuts de domina commence à cette période, alors qu’elle devient quasiment « l’élève » d’un Maître en la matière. Peu à peu, elle saisit que si elle aime la photographie, ce rôle de domina … c’est ce qui lui plait plus que tout le reste.
-A 22 ans, elle se marie. Une erreur. Son futur mari est un de ses soumis, leur relation s’engage vite dans un mauvais chemin, jeune, elle n’écoute pas son Maître dans l’art de la soumission et elle commet une erreur qui trois ans plus tard verra un beau divorce. Sa carrière de domina bien lancée, elle laisse la garde de cet enfant qu’elle ne voulait pas : Luzia est née par erreur, un déni de grossesse tardif et un rôle assumé mais non désiré. Quand son mari est muté, le choix du divorce est prononcé, la pension alimentaire versée, rubis sur ongle. Hors de question d’agir comme sa mère, elle restera en contact avec sa fille et l’assumera dans ce rôle réduit mais présent.
- Devenue domina professionnelle, elle se fait appeler Frau Gris (prononcer Grisse). Les choses sont claires avec sa clientèle. Une fois son temps acheté, pour une première rencontre, elle les dépouille de leur vêtement, s’installe sur son bureau et les fait ramper en dessous où ils trouvent le règlement intérieur qui doit être lu de vive voix : Elle ne leur doit rien, être à ses pieds est un privilège. Sa satisfaction passe avant leur petit plaisir égoïste. Il faut obéir aux consignes de Frau Grisse sans réfléchir et il ne faut jamais la contredire, même en pensée. Frau Grisse a toujours raison, elle sait ce qui est bon pour son client, mieux que lui (ou elle). Son attention n’est pas dû, l’on ne mérite pas mieux que ce qu’elle daigne accorder.
-Il y a trois ans, elle épouse une de ses maîtresses, non pas une cliente, mais une femme qui partage ses goûts. Cela dure six mois, la belle pensait qu’elle abandonnerait son travail et ses amants, mais non. Elle ne supporte ni les règles normatives, ni qu’on lui impose son choix de vie. Cet échec la blesse, l’agace et pique son orgueil….
- Griselda sait que son travail ne sera pas éternel, elle met de l’argent de côté, travaille à perdre haleine mais sent qu’elle va finir par craquer. Elle ne s’autorise aucun lâcher prise, autant dire que cela finira mal et une domina en burn out, ce n’est pas du tout ce qui fera marcher ses affaires !
Âge: écrire ici
Où nous avez-vous connu?:
J'ai pris un prélien: renseigner l'URL
En postant ma fiche, je soussigné Griselda Kayser déclare avoir pris connaissance du règlement et en reconnais la valeur réglementaire sur le forum
Code : Tout sélectionner
[pia]Nom de la célébrité[/pia] -- nom du perso
Code : Tout sélectionner
[pia]Emploi[/pia] -- Nom du perso
Code : Tout sélectionner
Lieux de résidence
[sstitre]Nom du perso[/sstitre]
description des lieux
Code : Tout sélectionner
[tr][td]Nom du personnage[/td][td]Role recherché[/td][td]Genre[/td][/tr]