
- Il est orphelin. Du coup il n'achète ni chocolat, ni bouquet de fleurs ou gadget idiot pour les fêtes des pères et mères.
- Son deuxième prénom est Mickael. Il le déteste tellement qu'il n'inclut jamais l'initiale dans son nom complet.
- Il est carnivore. Les légumes, très peu pour lui : ça prend de la place sur l'assiette qui aurait pu être consacrée à de la viande. Un vrai gâchis !
- Il fume. Beaucoup. Souvent. Dès qu'il le peut en réalité. Il sait que le geste seul apaise ses nerfs et reste persuadé que toutes ces histoires de cancers ne sont que des racontars pour justifier la hausse des taxes.
- Il ne boit quasiment jamais d'alcool : il déteste plus que tout perdre le contrôle sur lui-même et refuse de céder à ce genre de sirènes un peu trop faciles.
- Il aime aussi bien les hommes que les femmes : un peu charmeur, il sait utiliser son bagout pour paraître à son avantage. Chez lui, les mots sont une deuxième couche de vêtements, plus aguichante encore que les grandes marques de luxe.
- Il manie l'humour avec subtilité, mais uniquement quand il le désire : la plupart de ses réparties peuvent être soit de mauvais goût, soit particulièrement lourdes. Mais pour autant, il sait parfaitement avec quel interlocuteur il peut s'autoriser ce genre de dérive.
- Il ne rate jamais un seul entraînement de boxe : c'est sa drogue à lui, son adrénaline dont il ne peut se passer. Son corps a été sculpté par toutes ces heures de sport intensives et ses muscles lui répondent à la perfection.
- Il n'est pas connu pour être bagarreur : il déclenche rarement le premier les rixes dans lesquelles il atterrit parfois. Mais gare à celui qui le provoquera...
- Sa soirée idéale ? Le canapé, une série humoristique à la TV, un jogging un peu trop large et du temps à tuer.
- John était le troisième fils de la famille Goodall : la non-originalité de son prénom tient surtout au fait que son père aimait les prénoms simples et que sa mère s'attendait à avoir une fille. Du coup, John est tombé sous le sens. Après lui est né la fille tant attendue que sa mère espérait, ce qui fait que John a toujours été un peu mis de côté, oublié : l'aîné avait toutes les attentions du père, la dernière toutes celles de la mère. Mais pour autant, il n'a jamais manqué d'amour.
- Le nom des Goodall a souvent été associé à différents 'incidents' qui arrivaient en ville et John avait arrêté de compter le nombre de fois où les policiers se sont présentés à leur domicile pour interroger son père. Puis son grand frère quand il est devenu majeur. Puis son deuxième frère. Et enfin lui, même s'il n'a eu droit à cet honneur qu'une seule fois, à propos d'un banal vol de voiture dans lequel finalement il n'a jamais été inculpé. Malfrats de père en fils, et fiers de l'être !
- Malheureusement, une telle vie n'avait pas que des avantages : quand une guerre de gangs a éclaté, sa famille a été la première visée. Il a perdu tous ceux qui lui étaient chers ce jour-là et n'a dû sa survie qu'au fait qu'il avait dû s'absenter en urgence pour aller acheter le dessert que sa mère lui avait demandé plus tôt ce jour-là, et qu'il avait oublié. Les balles des ennemis ne l'ont pas trouvé mais ont perforé son coeur comme s'il avait été présent. L'incendie qui a suivi et qui a maquillé les preuves du crime a fini de brûler sa compassion et ses espoirs.
- Il a dû fuir et oublier l'idée de se venger : seul, désemparé, il a traversé le pays en espérant que personne ne rechercherait jamais le dernier fils Goodall, pour atterrir à NY. C'est le nom de Saito qui l'y a attiré : l'homme était un ancien ami de son père dont il parlait parfois et qu'il semblait énormément respecter. John s'était toujours dit qu'en vertu de leur ancienne amitié, il serait accueilli et protégé. Il n'a pas eu tort et Saito lui a offert sa protection, en plus de sa confiance.
- Il a travaillé dur, parce que c'était cet état d'esprit et cet amour du travail que lui avaient inculqué ses parents. De ce fait, il a fait rapidement ses preuves et son sérieux a fini par attirer l'attention de Saito. Ce dernier lui a confié davantage de responsabilités, davantage de travail et devant la qualité du rendu, il a fini par le prendre à ses côtés. John est à la fois fier d'y être, et terriblement conscient du poids de ses responsabilités : loyal par-dessus tout et aussi agressif qu'un pit-bull dès qu'il s'agit de son patron, il a même fini par être considéré et respecté dans l'organisation de l'asiatique.
- Masada Saito reste un être mystérieux aux yeux de John, quelqu'un qu'il ne pourra jamais égaler mais dont la retenue et le sérieux le poussent parfois à le bousculer un peu et à le taquiner. Il ne respecte infiniment, l'admire et donnerait sa vie pour lui.... et depuis quelques temps, il doit admettre qu'il donnerait également son corps. Juste pour voir ce qu'il se passera quand le masque impassible tombera.
Âge: intemporelle
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En postant ma fiche, je soussigné GOODALL JOHN déclare avoir pris connaissance du règlement et en reconnais la valeur réglementaire sur le forum
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[pia]Jamie Cambell Power[/pia] -- john goodall
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[pia]Secrétaire de Masada Saito[/pia] -- John Goodall
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Brooklyn
[sstitre]John Goodall[/sstitre]
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[tr][td]John Goodall[/td][td]Soumise[/td][td]Féminin[/td][/tr]